Brèves

mardi 2 avril 2002, par Le Bureau

CulturePolitiqueFinance

L’insoutenable légèreté de l’opposition ...

Ceux qui semblent manquer de mains pour applaudir à l’obtention de l’importante subvention du conseil général - plus de quatre millions de francs pour la Maison des Beaumontois - auraient pu persuader leurs amis de droite au conseil général de voter pour ! Il y a, semble-t-il une “légère” contradiction a dénoncer la hausse de la fiscalité locale tout en faisant tout pour en accroître l’importance. Mais peut-on s’étonner de ce comportement merveilleusement irresponsable si l’on se rappelle qu’ils n’avaient obtenu et peut-être même pas demandé la moindre subvention ?

Boycott ...

Chacun, (au sein du personnel municipal s’entend ), est évidemment libre de participer ou pas aux manifestations de son choix “peut-on lire dans le “voici” politique local. C’est vrai et c’est tant mieux ! Aujourd’hui, en effet, non seulement le personnel peut participer ou non mais il peut même choisir ses représentants de façon démocratique, débattre et voter pour -ce qu’il a fait massivement- ou contre le protocole d’accord sur les trente-cinq heures. Bref, si c’est la fin des privilèges pour quelques uns, qui se lamentent bruyamment, nombreux sont ceux qui se réjouissent de voir les choses rentrer dans l’ordre . Dans leur immense majorité, les personnels municipaux préfèrent l’équité et la reconnaissance du travail effectué au paternalisme antérieur. Beaucoup, et ils ont su parfois nous le faire savoir avec une virulence bienvenue puisque fondée, auraient été très amers si nous n’avions pas su prendre nos responsabilités et mettre un terme a des pratiques anormales voire scandaleuses Il ne nous est pas interdit de penser que beaucoup de Beaumontois partagent ce sentiment.

Bibliothèque ...

C’est avec une véritable consternation que le directeur général aux affaires culturelles a découvert ce qu’il est convenu d’appeler la bibliothèque de Beaumont ... Rendons hommage à ceux et à celles qui s’investissent pour faire partager leur passion pour la lecture dans des conditions aussi indignes que la tâche est noble ...